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Togo-JIFA : « Adjino », pour honorer les mères résilientes

Un nouveau projet naît pour célébrer les femmes résilientes dans les communautés togolaises. Dénommé ‘Adjino’ (mère en langue mina), ce projet veut faire connaitre des mères qui se sont sacrifiées dans leurs familles et communautés pour favoriser l'épanouissement d’autres personnes. "Adjino" est une initiative du Groupe d’Appui aux Initiatives Durables (GAID), en collaboration avec le Centre d’Étude et de Recherche pour le Développement Intégral (CERDI) et Togocine.   Plusieurs activités, notamment un tournage vidéo, des forums, formation… seront menées. La première saison de ce projet est lancée à Lomé ce 31 juillet 2023, journée internationale de la femme africaine.

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Le monde entier a célébré ce 31 juillet, la journée internationale de la femme africaine. Au Togo, c’est la date choisie par le Groupe d’Appui aux Initiatives Durables (GAID), en collaboration avec le Centre d’Étude et de Recherche pour le Développement Intégral (CERDI) et Togocine pour lancer l’initiative ‘Adjino’. L’initiative veut reconnaitre et célébrer des femmes qui ont marqué leurs communautés, familles et enfants : « Pour nous, c’est d’honorer, de mettre la lumière sur les rôles que les mères jouent dans nos sociétés. Les cibles avec qui nous voulons travailler sont souvent oubliées», a déclaré Adoudé Tounou, promotrice du concept ‘Adjino’.

Adoudé Tounou
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‘Adjino’ reçoit, depuis sa conception, l’appui technique du Centre d’Étude et de Recherche pour le Développement Intégral (CERDI) qui a dans ses objectifs principaux, soutenir les engagements associatifs pour un développement inclusif : « Nous avons toujours prêté une attention particulière aux femmes et jeunes filles en considérant le rôle difficile que la société leur confie.  C’est sur elles aussi que toutes les difficultés familiales se versent, qu’elles soient de caractère économique, social ou éducatif », a ajouté la coordinatrice de programme, Edwige DJISSENOU.

Edwige DJISSENOU

Les femmes bénéficiaires de ce projet seront identifiées en collaboration avec l’Établissement Public Local Autonome pour l’Exploitation des Marchés de Lomé (EPAM). Des artisanes et celles des communautés rurales également.

 

 

 

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