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SOCIÉTÉ : « Femme, Who be you ?» La question d’un député togolais après une expérience au cours des fêtes de fin d’année

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« On ne se marie pas un jour de fête » disent les anciens. La raison évoquée : ces jours, toutes les personnes sont belles, gentilles puisque chacun se met sur son trente-et-un. Des histoires de rencontres pendant ces périodes sont multiples. Excitantes et drôles dans certains cas, et dans d’autres pleines de leçons et tristes parfois. Le député togolais Jerry Taama, sur sa page Facebook, parle de la sienne au cours d’une réception du nouvel an. Une rencontre avec une belle dame envoûtante, des jours plus tard, méconnaissable puisqu’étant sans parure.

Invité à une soirée de réveillon, le député Gerry Taama, Président du groupe parlementaire NET-PDP tombe sous le charme et la beauté d’une belle-dame, invitée également au dîner de réveillon : « je l’ai remarqué assez rapidement, parce qu’elle dansait terriblement bien. Callipyge (en français facile grosses fesses) poitrine arrogante, visage chevalin, lèvres pulpeuses, une chevelure tombant en cascade sur les épaules moulées dans une robe en velours noirs, très échancrée. Et cette façon très lascive de tourner les reins, comme on dit chez nous. Tout le monde n’avait d’yeux que pour elle. » raconte-t-il. Celui-ci, lieutenant de l’armée togolaise en ce temps, finit par inviter la jeune dame à sa table.

 

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Le député Gerry Taama

 

La soirée dînatoire du réveillon finit, Gerry Taama, part avec Clarisse (nom de la jeune dame) aux environ de 3 h. Le plan du député: l’emmener chez lui à la maison. Son plan, malheureusement, tombe à l’eau. La jeune Clarisse a souhaité rentrer chez elle, ce qui fut fait.

J’ai demandé si Clarisse était là… La jeune dame éclata de rire, à ma grande surprise. Aurais-je dit quelque chose de mal, madame ? Demandais-je, obséquieusement. Mais non, Gerry. Mais non. Seulement, que Clarisse, c’est moi. Je me reculai et détaillai la dame debout devant moi. Elle était plate comme la règle de 1 m de mon maître au CE1, le visage comme une calculatrice, envahie de boutons, ses cheveux en bataille, comme un champ de chiendent, le teint était brûlé, avec toutes les nuances du rouge au visage et du noir aux jambes, et pendant que le radar de mes yeux scannait tous ces détails, la dame riait toujours. » 

 

Quelques jours plus tard, Gerry Taama, en passant devant la maison de sa nouvelle amie, a souhaité prendre de ses nouvelles. Il demande d’après celle-ci auprès d’une dame qui se trouvait devant la maison avec deux enfants. Il prendra une douche froide avec ce qu’il entendra : « J’ai demandé si Clarisse était là… La jeune dame éclata de rire, à ma grande surprise. Aurais-je dit quelque chose de mal, madame ? Demandais-je, obséquieusement. Mais non, Gerry. Mais non. Seulement, que Clarisse, c’est moi. Je me reculai et détaillai la dame debout devant moi. Elle était plate comme la règle de 1 m de mon maître au CE1, le visage comme une calculatrice, envahie de boutons, ses cheveux en bataille, comme un champ de chiendent, le teint était brûlé, avec toutes les nuances du rouge au visage et du noir aux jambes, et pendant que le radar de mes yeux scannait tous ces détails, la dame riait toujours. » a-t-il écrit.

Le député fait un constat : « trop de choses sont devenues artificielles chez certaines de nos femmes. Le teint, les cheveux, les cils, les yeux, les hanches, les fesses, les seins… Chez certaines femmes, la seule chose qui reste authentique, c’est leur ADN. »

Commentaire

La beauté (relative) peut s’acheter aujourd’hui. Être authentique devient très rare. La société, encourage-t-elle les femmes à rester belle naturellement ou lynche-t-elle celles qui essaient de rester authentiques ? Des réponses qui à coup sûr, ne feront pas l’unanimité. Les parures continueront de prendre le pas sur le naturel, au grand bonheur des commerciaux. 

 

Eugenie GADEDJISSO TOSSOU

 

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