Il s’agit pour ces deux structures de valoriser ces femmes rondes africaines, les accompagner à avoir confiance en elles-mêmes , une meilleure estime d’elles et une approche saine de leur morphologie à travers le concours Nanagan.
Nanagan, concours sous-régional d’élégance et de la valorisation de la femme africaine n’est aucunement un concours de beauté ou une invitation à l’obésité, mais plutôt un tremplin vers une plus grande confiance en soi pour toutes celles qui y participent et au-delà pour toutes les femmes aux courbes généreuses, a précisé Kayissan Dominique ATAYI, la Promotrice du Concept Nanagan.
Après une 1ère édition réussie, la Covid-19 s’invite au concours, et cette deuxième édition mettra l’accent sur le rôle de la femme dans la riposte au Covid-19 :”Au sein du foyer, ce sont les femmes les seules responsables de l’hygiène des enfants. C’est pourquoi, tout le long de cette deuxième édition, une communication importante sera mise sur pied en vue de sensibiliser les différentes communautés de femmes, tant en milieu urbain qu’en milieu rural” ont souligné les organisateurs.
Comme l’édition précédente, le comité d’organisation met une fois encore l’accent sur le Togo et le Bénin. Le concours rassemble des candidates âgées de 21 à 30 ans, mesurant au moins 1,55m originaires du Togo et du Bénin et y résidant.
A l’issue de la soirée, une lauréate Nanagan et deux dauphines (Nanavi 1 et 2) seront élues.
Geoffroy AYEKE